La poste d'étapes

VALENCIENNES était le siège de l’Administration des mines (Bergverwaltung). Cette Administration, installée au n° 104 de la rue de Famars, contrôlait les exploitations minières de la zone d’étapes du Nord de la France (Nord et Pas-de-Calais).

Carte des mines dans les Départements du Nord et du Pas-de-Calais en janvier 1916, tirée de « Die industrie im besetzten Frankreich, 1916 ». La ligne noire représente le front à cette époque. La ligne pointillée est la limite de portée de l’artillerie anglo-française.

ANZIN (6ᵉ Armée) vers PERUWELZ (Gouvernement Général de Belgique, arrondissement de TOURNAI), 16 janvier 1916. Lettre de 20 g affranchie à 10 Pf/10 c (tarif du 15/12/1914). Cette lettre montre la signature du contrôleur, le lieutenant Weigelin.

ANZIN (6ᵉ Armée) vers PERUWELZ (Gouvernement Général de Belgique, Arrondissement de TOURNAI), le 3 octobre 1915. Lettre affranchie à 10 Pf/10 c (tarif du 15/12/1914) et contrôlée par la Bergverwaltung de VALENCIENNES (cachet “Geprüft”, “Bergverwaltung Etappeninspektion 6.” et signature du contrôleur von Oheimb). Un nouveau contrôle a été effectué par le Commissaire impérial pour l’arrondissement de TOURNAI (Kaiserliche Zivilkomissar bei dem Kreischef Tournai).

ANZIN (6ᵉ Armée) vers PERUWELZ (Gouvernement Général de Belgique), 9 juillet 1916.

Lettre jusque 40 g affranchie à 20 Pf/20 c (tarif du 15/12/1914).

Contrôle postal militaire de la 6ᵉ Armée et passage par BRUXELLES (oblitération roulette de la Caisse d’Epargne).

A date, il n'y a pas d'explication convaincante à cette déviation via Bruxelles. Plusieurs auteurs l'attribuent à la création de la nouvelle 1ʳᵉ armée et au changement de zone d'étape entre la 6ᵉ et la 1ʳᵉ armée. Cette explication n'est pas plausible selon certaines sources primaires conservées dans les archives militaires de Munich.

Lorsque la 1ère armée a été formée en juillet 1916, elle a effectivement utilisé l'inspection d'étapes de la 2ᵉ armée. A la fin du mois d'août 1916, des pourparlers sont engagés pour trouver une inspection d'étapes pour la 1ʳᵉ armée. Plusieurs lieux ont été envisagés, comme Cambrai, Denain et Maubeuge.

Toutefois, dans une directive du 9 septembre (Bildung der Etappeninspektion 1. 1.9.1916. A.O.K. 6 Ic Nr. 65276), l'Intendant général décide que l'Inspection d'étapes de la 6ᵉ Armée allait être transférée à Tournai et que la 1ʳᵉ Armée devait reprendre Valenciennes comme Chef-Lieu d'étapes. Ce changement devait prendre effet le 1ᵉʳ octobre 1916.

Il n'est donc pas possible que la formation de la 1ʳᵉ armée et de son Inspection d'étapes avant le 1ᵉʳ octobre 1916 ait eu un quelconque effet sur l'examen et le transport du courrier des mines.

Il convient de noter que ce courrier est toujours examiné par la Bergverwaltung, car les lettres portent parfois la signature ou le paraphe de leurs examinateurs. Nous connaissons les signatures du lieutenant von Oheimb, qui a signé "v Oh" ou "v O" et du lieutenant Weizelin (ou Weigelin), qui a signé avec son nom complet ou avec un "W" majuscule.

Octobre 1916 - 18 avril 1917 : La Bergverwaltung au sein de la 1ʳᵉ Armée.

Bien que se trouvant déjà dans la zone d'étape de la 1ʳᵉ armée à partir du 1ᵉʳ octobre, la Bergverwaltung n'a été officiellement rattachée à son inspection d'étape qu'à partir du 4 octobre et non du 1ᵉʳ octobre (date du changement de zone d'étape).

Un nouveau timbre "Bergverwaltung" a été introduit, dont on sait qu'il a été utilisé pendant une courte période du 10 au 30 octobre 1916.

VALENCIENNES vers MONCHECOURT (1ʳᵉ Armée). Lettre contrôlée par la Bergverwaltung ainsi que par la 1ʳᵉ Armée. La Bergverwaltung a apposé son timbre d’unité "Bergverwaltung Valenciennes Deutsche Feldpost 292” en plus de son cachet de contrôle, ce qui est plutôt inhabituel.

C’est d’ailleurs le seul cas connu de ce type d’utilisation.

Mines d'AZINCOURT vers VALENCIENNES.

Contrôle postal par la Bergverwaltung (cachet "Deutsche Bergverwaltung") et contrôle militaire par la Postüberwachungsstelle 39 (cachet "Geprüft P.Ü.St").

19 avril 1917 - Fin septembre 1918 : La Bergverwaltung au sein de la 2ᵉ Armée.

ANZIN (2ᵉ Armée) vers PERUWELZ, le 1er octobre 1917. Contrôle administratif (cachet “Deutsche Bergverwaltung”) et contrôle postal militaire (cachet “Geprüft P.Ü.St”).

ANZIN (2ᵉ Armée) vers QUIEVRECHAIN (2ᵉ Armée). Lettre contrôlée par la Bergverwaltung de VALENCIENNES (cachet “Militär-Bergverwaltung Nr. 1 Deutsche Feldpost 45”). Ce cachet apparaît en janvier 1918.

Voici ce que nous dit le livre "Völkerrecht im Weltkrieg 1914-1918" paru en 1927: "L'administration allemande des mines dans le bassin minier du nord de la France fut un service de l'inspection d'étape (6 et suivantes) jusqu'à l'automne 1916, puis une administration indépendante sous l'autorité de l'intendant général de l'armée [Generalintendant des Feldheeres], plus tard un représentant du quartier-maître général [Beauftragter des Generalquartiermeisters] et enfin (1918) directement subordonnée au quartier-maître général [Generalquartiermeister].

L'administration des mines du bassin minier du Nord de la France avait son siège officiel à Valenciennes et s'appelait initialement "Bergverwaltung Valenciennes", puis "Militär Bergverwaltung 1".

Une administration similaire, appelée "Militärbergverwaltung 2", dont le siège officiel est à Mons, existait pour les mines belges du district de Mons.

À l'automne 1917, ces deux administrations ont été fusionnées au sein de la "Militär Bergwerksdirektion" à Valenciennes afin de régler de manière uniforme les questions de personnel, d'approvisionnement en matériel, etc. La Militär Bergwerksdirektion, avec ses deux administrations minières, étaient budgétées par le Ministère de la Guerre prussien.

L'administration n'avait pas de fonctions purement militaires ; sa tâche consistait plutôt à superviser les mines. [...] L'exploitation et l'administration des mines françaises, en revanche, ont toujours été gérées par les administrations minières françaises elles-mêmes, avec leur propre personnel et pour leur propre compte. "

Le contrôle du courrier par cette Administration se basait essentiellement sur un contrôle comptable des quantités de charbon à livrer par les mines.

Octobre 1914 - Fin septembre 1916: La Bergverwaltung au sein de la 6ᵉ Armée.

L'administration des mines s'installe à Valenciennes en octobre 1914.

Nous ne connaissons aucun courrier qui ait été examiné par l'administration des mines avant le 9 septembre 1915. Avant cette date, on ignore comment le courrier des compagnies minières était examiné ou même s'il pouvait circuler. En fait, le courrier civil (à l'exception du courrier des prisonniers de guerre) était interdit. Toutefois, le 29 mai (arrêté VI n° 19061), l'inspection d'étape de la 6ᵉ Armée a exceptionnellement autorisé le courrier commercial à condition qu'il soit approuvé par l'inspection d'étape. Un autre ordre d'étape du 13 septembre 1915 (n° 31207/1669) spécifiait ce qui suit : "Les lettres des entreprises commerciales et industrielles de la zone des étapes ne peuvent être transmises que s'il s'agit de commandes, etc. pour lesquelles l'armée a un intérêt certain. Lorsqu'ils soumettent ces lettres à l'Inspection, les commandants d'étape doivent toujours indiquer s'il existe un tel intérêt et s'ils sont favorables à leur envoi".

Le cachet "Deutsche Bergverwaltung" (sans Valenciennes) est connu jusqu'au 17 octobre 1917.

Par la suite, la "Deustche Bergverwaltung 1" a été rebaptisée "Militär-Bergverwaltung 1". Nous ne connaissons pas la date de ce changement, mais elle est identifiée comme "Militär-Bergverwaltung Nr. 1" le 1er janvier 1918 dans l'annuaire de la Commandanture d'étapes n° 158 (VALENCIENNES).

Le cachet de contrôle de la Bergverwaltung a été modifié en "Militär-Bergverwaltung Nr. 1 Deutsche Feldpost 45" et est connu du 31 janvier au 5 février 1918, mais doit également avoir été utilisé après février 1918.

Le 16 janvier 1917, le ministère de la Guerre a publié l'ordonnance n° 54. Ce décret stipule qu'à partir du 15 février 1917 : "Dans les adresses sont interdites toutes les informations relatives aux théâtres d'opérations, le rattachement aux armées, aux groupes d'armées ou aux détachements d'armées, aux corps d'armées, aux divisions et aux brigades". Ce décret a principalement touché les troupes et les services militaires au front ; les troupes ou les services d'étapes n'ont pas été immédiatement affectés.

Ainsi, le 10 mai 1917, le directeur de la poste aux armées suggère de remplacer l'emplacement de certains services d'étapes, tels que les bureaux de contrôle des banques, par un numéro.

Le 24 mai 1917, le Generalquartiermeister a publié un décret ordonnant, entre autres, le changement de nom des Administrations des mines. Ainsi, l'Administration des mines de VALENCIENNES a été renommée "Deutsche Bergverwaltung 1 Deutsche Feldpost 45".

Ce décret n'a pas d'effet immédiat, puisque le timbre "Deutsche Bergverwaltung Valenciennes" est connu jusqu'au 20 juin 1917. La mention "Valenciennes" a probablement été retirée à la fin du mois de juin.

Le cachet "Bergverwaltung" a été remplacé assez rapidement début novembre par le cachet "Deutsche Bergverwaltung Valenciennes". On connaît une lettre portant ce cachet et celui de la Postüberwachungsstelle 1. datée du 8 novembre 1916.

Suite au mouvement des troupes allemandes derrière la ligne Siegfried et aux attaques britanniques autour d'Arras, le commandement suprême décide le 12 avril 1917 de réorganiser le nord du front et de dissoudre la 1ʳᵉ Armée. Le 19 avril 1917, l'Inspecteur des étapes Franke publie un avis annonçant que les districts de Commandantures de CAMBRAI, VALENCIENNES, ARTRES, SOLESMES, LE QUESNOY et BAVAY allaient être rattachés à la zone d'étape de la 2ᵉ Armée.

LOURCHES vers LILLE (6ᵉ Armée). Lettre contrôlée par la Bergverwaltung (paraphe “v Oh”). Contrôle postal réalisé le 13 juillet 1916 par le centre de contrôle postal de la 6ᵉ Armée (cachet “Zulässig Postüberwachungsstelle 6. Armee”).

ANZIN (1ʳᵉ Armée) vers PERUWELZ (Gouvernement Général de Belgique, arrondissement d’ATH), le 10 octobre 1916.

Lettre jusque 40 g affranchie à 20 Pf/25 c. Suite au départ de la 6ᵉ Armée, le cachet de contrôle “Bergverwaltung Etappeninspektion 6.” a été remplacé par le “Bergverwaltung”.

Comme la lettre ci-dessus, le cachet "Bergverwaltung Etappeninspektion 6." n'était certainement pas un cachet de contrôle, mais un timbre de service utilisé pour censurer le courrier des compagnies minières.

Sur le courrier, son lien avec le cachet de la poste "Geprüft" est très aléatoire. Néanmoins, nous connaissons le cachet postal "Bergverwaltung Etappeninspektion 6." jusqu'à la mi-mai 1916. En effet, à partir de cette date, à l'exception de trois lettres datées des 8, 12 et 18 août 1916, on constate que le courrier des houillères ne porte plus ce cachet, mais uniquement celui du centre de contrôle postal de la 6ᵉ Armée. En outre, le courrier à destination du territoire de le Gouvernement Général de Belgique passait désormais systématiquement par le bureau de poste principal de Bruxelles (Bruxelles 1), où les affranchissements étaient annulés par un cachet roulette, car ils étaient considérés comme non ou insuffisamment oblitérés.

Récemment, un autre cachet de contrôle a été découvert qui est très similaire au précédent, mais avec un libellé légèrement différent.

Il s'agit du timbre "Militär-Bergverwaltung Nr. 1 Feldpoststation 45".

ANZIN vers ANICHE (2ᵉ Armée).

Contrôle administratif (cachet “Militär-Bergverwaltung Nr. 1 Feldpoststation 45”). Avec ce cachet où figure le terme “Feldpoststation“ au lieu de “Feldpost“, cette lettre est la seule connue à ce jour.

Malheureusement, cette lettre n'est pas datée, mais dans les archives du Centre Historique Minier de LEWARDE il y a une lettre avec le même cachet à la date du 9 mars 1918.

Les cachets de contrôle "Deutsche Bergverwaltung Nr. 1 Deutsche Feldpost 45" et "Militär-Bergverwaltung Nr. 1 Deutsche Feldpost 45" ont certainement vécu côte à côte pendant une courte période.

Enfin, il semble qu'à partir d'avril/mai 1918, la Bergverwaltung ait été desservie par la Feldpoststation n° 34, qui était également situé à VALENCIENNES. C'est probablement à cette époque que le "45" a été retiré du cachet.

DOUCHY vers ANICHE (2ᵉ Armée). Contrôle administratif (cachet “Militär-Bergverwaltung Nr. 1 Deutsche Feldpost…”). En avril/mai 1918, la Bergverwaltung de VALENCIENNES cesse d’être desservie par la Feldpoststation 45. Le “45“ est donc retiré du cachet.

Focus sur la période octobre 1916 - juin 1917.

Pour conclure cette partie, il est intéressant de s'attarder sur une période compliquée à analyser. En effet, dès le début de la période de la 1ʳᵉ Armée et pendant quelques mois, le courrier des mines est acheminé vers PERUWELZ via TOURNAI.

Outre les cachets de contrôle apposés par l'Administration des Mines puis par le centre de contrôle postal de la 1ʳᵉ Armée au départ, on constate que ce courrier porte également les cachets de contrôle du Commissariat civil de TOURNAI et du Bureau de Surveillance Postale de la 6ᵉ Armée à l'arrivée.

ANZIN (1ʳᵉ Armée) vers PERUWELZ, le 8 novembre 1916. En novembre 1916, un nouveau cachet de contrôle est mis en service par la Bergverwaltung (cachet “Deutsche Bergverwaltung Valenciennes”).

Double contrôle militaire :

1ère Armée: “Zulässig Postüberwachungsstelle 1. Armee”.

6ème Armée “Zulässig Postüberwachungsstelle 6. Armee” + “Postüberwachungsstelle Geprüft Tourmai”.

Avant le changement de zone d'étape entre la 1ʳᵉ et la 6ᵉ armée, le district militaire de TOURNAI était composé des arrondissements belges de TOURNAI et d'ATH.

Lorsque TOURNAI est devenu le Chef-Lieu d'étape de la 6ᵉ armée, le district militaire d'ATH est constitué, comprenant l'arrondissement d'ATH et les communes du district de TOURNAI qui, comme PERUWELZ, n'avaient pas été intégrées à la zone d'étapes.

Le chef de district déménage à ATH, tandis que le commissaire civil reste à TOURNAI en tant que représentant du président de l'administration civile de la province de Hainaut.

Logiquement, le courrier de la mine à PERUWELZ ne devait donc plus être contrôlé par le commissaire civil de TOURNAI, mais par le commissaire civil d'ATH. En outre, ce courrier ne devait pas être acheminé vers TOURNAI, mais directement de l'Administration des mines ou du centre de contrôle postal de la 1ʳᵉ Armée vers ATH.

Il n'y a pas d'explication définitive, mais à mon avis, il doit s'agir d'une erreur de direction.

En effet, il existe des lettres à destination de PERUWELZ qui ont été dirigées via ATH et contrôlées sur place par le commissaire civil et dans la même période des lettres qui ont été dirigées vers TOURNAI.

Lettre d'ANZIN à PERUWELZ (16 décembre 1916). Contrôle de l'Administration des mines.

Contrôle postal militaire de la 1ʳᵉ Armée et, à l'arrivée, contrôle du commissaire civil d'ATH.

ANZIN (1ʳᵉ Armée) vers PERUWELZ, le 14 novembre 1916. Cette lettre est arrivée à TOURNAI où elle a reçu la mention “Irrläufer bei Etappe 6.” (envoyée par erreur vers les étapes de la 6ᵉ Armée).

ANZIN (2ᵉ Armée) to PERUWELZ (Gouvernement Général de Belgique, arrondissement d’ATH), juin 1917. Lettre contrôlée par la Bergverwaltung de VALENCIENNES et envoyée par erreur vers la Postüberwachungsstelle n° 40 (6ᵉ Armée) au lieu de la Postüberwachungsstelle n° 39 (2ᵉ Armée). Arrivée à TOURNAI, elle a été retournée à VALENCIENNES (mention “Irrläufer b. P.Ü.St 40”). Après un contrôle postal militaire (cachet “Geprüft P.Ü.St”), elle a été dirigée sur ATH.

On ne sait pourquoi si peu de lettres de cette période portent la remarque "Irrläufer". On ne sait pas non plus pourquoi certaines fois la 6ᵉ Armée acceptait de contrôler certaines lettres vers PERUWELZ et d’autres fois non, comme pour cette lettre.

A partir de juin 1917, on trouve des lettres qui portent plus systématiquement le cachet du commissaire civil d'ATH.

En outre, on connait au moins 3 lettres des Mines envoyées via TOURNAI avec les mentions "Irrläufer b. Etappe 6." ou "Irrläufer b. P.Ü.". St. 40." (envoyée par erreur vers l'Etape 6 ou envoyée par erreur vers la Postüberwachungsstelle 40).

Fin septembre 1918 – 12 octobre 1918 : La Bergverwaltung au sein de la 17ᵉ Armée.

La 2ᵉ Armée quitte VALENCIENNES entre début octobre 1918, VALENCIENNES est incluse dans la zone d'étapes puis dans la zone d'opérations de la 17ᵉ Armée. La destruction des installations minières a pu commencer.

Le 9 octobre, les directeurs et autres cadres français des sociétés minières sont envoyés à LIEGE avec leurs familles et leurs principales archives.

Le 12 octobre, la Bergverwaltung 1 et la Bergwerksdirektion cessent leurs activités à VALENCIENNES, la première s'installant à LIEGE et l'autre à MONS. Malheureusement, aucune lettre de cette période n'est connue.